Résumé
Dans cet essai je m’interroge, le plus souvent avec humour, sur la mort programmée de ma langue maternelle, le dialecte alsacien.
Extrait
Page 17 : » Je suis d’ailleurs contre le port obligatoire du casque pour les conducteurs de Vélosolex. C’est cette obligation de port du casque pour les conducteurs de Vélosolex qui a rendu inéluctable leur disparition progressive. Et je ne sais pas bien pourquoi, mais cette disparition progressive du Vélosolex me rend terriblement mélancolique. On ne disait d’ailleurs pas Vélosolex, mais solexl. Le l rajouté à la fin du mot était un diminutif affectueux, car le solexl était très aimé des populations alsaciennes, surtout de celles de la plaine. »
Références
Editeur : La Nuée bleue (1994)
ISBN: 978-2-7165-0323-5
Livre broché (Couverture avec rabats): 144 pages
Prix: 11€
Revue de presse
Dans la presse à propos du livre La langue perdue des Alsaciens